🪐 Ingénieur du marketing organique. Fondateur Orbital Projects. J’aide les marques gaming & tech à structurer leur acquisition et leur communauté sans budget pub.
La plupart des studios que je rencontre ne délèguent pas leur marketing.
Pas par manque d’argent.
Par peur.
La peur de tomber sur quelqu’un qui ne comprendra pas le produit.
La peur de confier leur image à quelqu’un d’externe.
La peur de perdre le contrôle d’un projet qu’ils ont construit à la sueur du front.
Et franchement, je les comprends.
Quand on passe des années à concevoir un jeu ou une app, quand on a tout fait soi-même depuis le début, lâcher une partie du volant, ça fout la trouille.
Mais le vrai problème, c’est que cette peur coûte cher.
Parce qu’à force de vouloir tout gérer, la com passe souvent après.
Et pendant ce temps, les bons produits restent invisibles.
Les messages tournent à vide.
Et la fatigue finit par s’installer.
Je le vois tout le temps : des studios brillants techniquement, avec des produits solides, mais une communication bloquée faute de relais de confiance.
Déléguer, ce n’est pas abandonner le contrôle.
C’est trouver les bonnes personnes pour amplifier ce que vous avez déjà construit.
C’est poser un cadre, une vision, et laisser des experts s’occuper du reste pour que vous puissiez vous concentrer sur ce que vous faites le mieux : créer.
Chez Orbital, c’est exactement comme ça qu’on fonctionne.
On ne prend pas la main.
On la tend.
Si vous êtes à ce moment charnière où vous sentez que vous ne pouvez plus tout gérer seul, on peut en parler.
Parfois, la première vraie décision de croissance, c’est d’accepter de ne plus être partout à la fois.
Et promis la prochaine fois je fais une photo en étant bien rasé 😅
J’aide les structures à transformer leur communauté en levier de croissance grâce à une approche alliant data et écoute active.
1 month ago
En vrai c’est compréhensible. Mais comme tu le dis, déléguer ce n’est pas lâcher prise, c’est s’entourer pour faire grandir ce qu’on a construit. J’aime cette vision de 'tendre la main' plutôt que de 'prendre la main' !
Exactement, c’est tout l’enjeu !
Savoir quand lâcher un peu de contrôle, et surtout à qui.
Trouver le bon partenaire, c’est pas “abandonner” son projet — c’est lui donner une chance de grandir.
Et comme tu le dis très bien, le vrai risque, c’est souvent de rester invisible en voulant tout faire soi-même.